Princeton's Mystery
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 Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.

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Benjamin J. Black

Benjamin J. Black


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MessageSujet: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeDim 4 Jan - 19:46

    Une heure moins sept, le Salon de la Résidence des étudiants de Princeton est vide. Totalement vide. La lumière est éteinte et seul le son du vent contre les fenêtres trouble le silence absolu qui pèse sur les fauteuils. C'est normal que personne n'aie l'idée de traîner ici à cette heure tardive, n'est-ce pas ? Demain, il y a cours, les étudiants, même les plus fêtards, essaient de garder un rythme de vie normal. Du coup, mêmes les filles populaires et les garçons ayant plus de muscles que d'intelligence, avaient prit la bonne résolution d'aller dormir tôt.

    Pourtant, malgré ça, la porte du Salon s'entrouvrit dans un léger grincement qu'une main pâle aux longs doigts fins et osseux tenta de diminuer en retenant le battant. Une deuxième main fit glisser ses doigts jusqu'à l'ntérrupteur principal, sur le mur, juste à côté du deuxième battant en bois de la porte. Il fit balancer l'nterrupteur vers le bas et la scène s'alluma. Un jeune homme se tenait debout dans l'embrasure de la porte du Salon. Il avait avancé d'un pas et à présent, le jeune homme balayait la salle du regard. L'asence totale de présence humaine le soulagea à la fois que le désespéra. Il avait esperé y trouver l'un de ses colocataires. N'importe lequel. Il poussa un soupir inaudible et résigné et referma précautioneusement la porte derrière lui. Il ne savait pas à quelle heure les étudiants étaient censés vide entièrement cette salle.

    D'un pas tranquille, décidé et nonchalant, il s'approcha d'un divant sur lequel il se laissa tomber. Il s'y adossa et sa tête balança d'elle-même vers l'arrière. Lorsqu'elle percuta, d'un mouvement sec mais doux, le dos du canapé, il ferma les yeux. Après une longue inspiration, il joint ses mains dans sa nuque et replia ses jambes en tailleur. Son jean remontait toujours quand il faisait ça, et ca l'énervait. Du coup, quand il décidait de s'acheter un nouveau pantalon, il vérifiait toujours que ses sockettes restaient invisibles quand il s'asseyait.

    Le jeune homme souffla sur une mèche de cheveux couleur cuivre qui lui tombat sur le nez et le gênait et semit à réfléchir. Il grimaça en imaginant ses colocataires installés, bin au chaud, dans leurs lits, sûrement plongés dans leurs rêves salaces alors que lui était assit là, comme un idiot et condmané à passer la nuit sur ce canapé. Il ne put retenir un sourire moqueur en imaginant son ami Joseph, la peluche écureuil qu'il lui avait offert à Noël, posée sur sa table de chevet, entrain de s'agiter sous ses couvertures en penssant à un fille particulièrement bien foutue qu'il avait croisé dans la rue la veille. Tout à coup, il fut très content d'être épargné de ce spectacle.

« N'empêche, se dit-il tout haut, conscient de n'être entendu par personne d'autre que son subconscient, je dois vraiment être le seul à perdre la clé de sa chambre. »

    Il soupira à nouveau. En effet, il s'était rendu compte, quelques minutes plus tôt qu'il n'avait pas la clé de la chambre qu'il partageait avec trois autres étudiants... qui étaient certainement tous trois entrain de dormir tellement profondément que toquer à la porte n'aurait servit à rien. De plus, il était vraiment très humiliant de toquer à la porte de sa propre chambre, en pleine nuit, et de voir un de ses colocataires lui ouvrir, étonné. Non, décidément, il préferait encore dormir dans le Salon.

« Bah, ca pourriait être pire ! finit-il par se rassurer lui-même. Il y aurait pu y avoir encore des gens ici ! »

    Ausitôt dit, ausitôt fait. Tel est le dicton. Le garçon aux cheveux de cuivre sursauta en entendant la porte s'ouvrir à nouveau. Il ouvrit brusquement les yeux, alerté. Qui était assez fou pour venir ici en pleine nuit ? Il aurait du mal à expliquer sa présence ici sans passer pour un imbécile. Tandis qu'une ombre grandissait sur le sol, signe qu'un fille - car il s'agissait de l'ombre d'une fille - était sur le point d'entrer. Benjamin se fit tout petit, dans son canapé.
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Joyce Eindenberg

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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeLun 5 Jan - 0:03

La chambre numéro 1 était plongée dans l'obscurité. On pouvait y entendre la respiration de jeunes filles qui dormaient, quelques ronflements et au milieu de cette pièce très calme une jeune fille, assise en tailleur sur son lit, ne trouvant pas le sommeil et regardant les autres. Joyce tenait une feuille de papier à lettres entre ses mains. Il s'agissait d'une lettre que son père lui avait écrite il y a quelques jours de cela et qu'elle n'avait pas eu envie d'ouvrir. Comme elle ne trouvait pas le sommeil elle s'était décidé à l'ouvrir mais dans l'obscurité elle ne voyait pas grand chose. Elle se décida à aller au salon.

Joyce se leva de son lit sur la pointe des pieds, enfila sa robe de chambre qui était accrochée près de la porte, ouvrit celle-ci en faisant le moins de bruit possible car elle ne voulait surtout pas réveiller ses colocataires qui lui poseraient des questions. Elle referma la porte derrière elle, toujours sans bruit. Elle marcha dans le couloir quand elle vit une veilleuse. Elle se cacha dans un coin et sortit la lettre pour commencer à la lire.


" A ma fille,
Je sais que toi et moi on s'est dit des choses affreuses, que tu ne veux plus me revoir. Je ne sais pas où tu es à cette heure mais j'espère que tu vas bien ? Si tu reçois cette lettre c'est qui mon intuition est bonne et que tu as suivi ton rêve. Pour cela je suis fier de toi. La vie est bien trop courte pour ne pas réaliser ses rêves et vivre de regrets. Tu te dis certainement que ce sont des paroles en l'air mais je crois être le mieux placé pour te dire ça. En effet il ne me reste que quelques mois à vivre."


Joyce s'arrêta à ces quelques mots qui à présent résonnaient dans sa tête. Elle n'aimait pas son père certes mais de là à souhaiter sa mort c'était un peu beaucoup. Elle se décida à poursuivre, s'asseyant sur le tapis du couloir.

" En effet les médecins ont découvert chez moi un cancer plutôt rare et dont le traitement n'est pas encore connu. Dès que les médecins m'ont annoncé la nouvelle, sache que ma première pensée a été pour toi, ma fille, que j'ai très peu connu à cause de mes erreurs. Je n'ai pas été un très bon père et je m'en rend compte maintenant. J'espère que tu me pardonneras un jour. Ne pas te revoir, ne pas t'avoir vu grandir et avoir préféré sortir avec ses filles plutôt que d'assurer mon rôle de père, d'autant plus que j'aimais ta mère est mon plus grand regret. A ce sujet, il faut que tu saches que tu as une demi-soeur qui je crois est dans cette école.
Pardonne-moi !
Ton père qui t'aime et qui aimerait te serrer dans ses bras avant de mourir"


La jeune fille posa une main sur son front. Jamais un bout de papier ne lui avait fait autant d'effet. Que penser de cette lettre ? Elle ne le savait pas. Elle essaya de se relever et décida de se rendre au salon, endroit bien plus confortables que ce mur de couloir et tout aussi calme. Elle s'y rendit sur la pointe des pieds et ouvrit la porte du salon. A sa grande surprise la lumière était allumée. Elle se dit : " QUi peut bien être debout à une heure pareille ?" Elle avança vers le canapé et reconnut son ami Benjamin qu'elle avait rencontré devant le bureau du proviseur un jour et avec qui elle s'entendait bien. Elle s'approcha de lui.

Je vois que je ne suis pas la seule à ne pas réussir à dormir.
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Benjamin J. Black

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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeMar 6 Jan - 19:56

    Benjamin avait retenu sa respiration pendant les longues secondes qu'il avait fallu à l'ombre pour entrer dans la pièce. Il n'était pourtant pas essouflé. Avec le bon exercice sur ses poumons que lui procurait le chant, il avait un rythme cardiaque en béton et pouvait, à présent, retenir sa respiration près de deux minutes entières. Il n'aimait pourtant pas spécialement tenter l'expérience toutes les demi-heures à cause des vertiges qui le prenait quand il fanfaronnait et que, sans le vouloir, il dépassait sa capacité à ne pas respirer.

    Bref, quand il vit la silouhette d'une jeune fille aux longs cheveux bruns teintés de roux, il expira longuement. Il n'avait pas des tonnes d'amis, comme certaines personnes hyper-populaires comme les Tigers & les Cheerleaders, mais il avaient en eux une confiance innébranlables et pouvaient les reconnaître les yeux fermés. Tout comme il avait immédiatement sut à qui appartenait cette volumineuse tignasse aux reflets brillants. Il eu un sourire imperceptible. Une demi seconde plus tard, la jeune fille était entrée, le regard allumé par une étincelle d'étonnement en voyant que le Salon était allumé.

    C'est avec un vague sourire qu'il la regarda s'approcher.

« Je vois que je ne suis pas la seule à ne pas réussir à dormir. »

    Benjamin voulut répondre mais, comme pour démentir ses paroles, il fut secouer d'un long et profond baillement. Il passa une main dans ses cheveux de cuivre qui se dressèrent encore un peu plus sur sa tête. Il décida de ne pas faire de son problème une affaire d'état et afficha un air détaché. Il haussa les épaules, l'air résigné.

« C'est encore plus grave que ça... »

    Il se tut, les yeux sombres, les traits fermés. Il ne savait pas ce qui poussait sa camarade Joyce à être hors de son lit à cette heure-ci et n'avait l'intention de ne le lui demander que si elle faisait mine de vouloir le lui dire. Mais malgré ça, il était inquiet de savoir sa pâle tentative humour, parfois stupide et enfantin, même lui le reconaissait, était déplacée. Décidant d'observer la réaction de la brune avec attention, pour lire dans ses yeux les sentiments qui déffileraient dans son coeur.

    Après avoir fait durer le suspens pendant quelques secondes, il poursuivit, d'une voix dure.

« J'ai perdu la clé de ma chambre, soupira-t-il, soudain penaud, Et mes très chers colocataires dormant comme des bébés, ils me sont totalement inutiles ! »


Dernière édition par Benjamin J. Black le Sam 10 Jan - 1:08, édité 1 fois
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Joyce Eindenberg

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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeMar 6 Jan - 22:49

Joyce avait été soulagée de voir que cette silhouette masculine étendue sur le canapé du foyer était l'un de ses quelques amis. C'est vrai que Joyce avait beau être cheerleader, beaucoup n'essayaient pas de la connaître et avaient des préjugés parfois vrais mais parfois déplacés et elle ne le supportait pas. Avec ses gens là, elle pouvait se comporter comme une vraie garce mais avec ses amis elle prouvait qu'elle avait un coeur et une âme, qu'elle n'était pas insensible et pas toujours une garce.

Elle s'approcha de ce jeune homme aux cheveux légèrement cuivrés et lui fit une remarque. Il répondit par un long baillement et un étirement. Apparement il avait l'air fatigué. S'il était là ce n'était certainement pas par manque de sommeil d'après la jolie rousse. Il lui dit que c'était plus grave que ça. A cette remarque Joyce perdit son sourire. Etait-il dans une situation similaire à la sienne ? Avait-il découvert chez lui une maladie ? Un proche était-il mort ? Des tas de possibilités passaient pas la tête de la jeune femme et par cette multitude de questions elle ne savait comment réagir, elle murmura un simple "désolée".

Après quelques secondes et d'une voix dure son ami lui dit la véritable raison de sa présence et celle-ci n'avait rien de tragique. Il avait simplement perdu les clefs de sa chambres. Joyce se sentit ridicule d'avoir réagit comme ça puis elle se mit à sourire en imaginant Benjamin toquant à la porte de sa chambre et poirautant devant celle-ci pour que quelqu'un ouvre alors que ses colocataires dormaient comme des masses.

"Tu m'as fait peur en disant que c'était grave, dit elle en souriant, dans ton étourderie tu as plus de chance que moi !"

Elle désigna le bout de papier qu'elle avait dans la main, la raison de son éveil entre autre. Elle n'avait pas voulu en parler car elle préférait garder certaines choses pour elle mais comme ils étaient destinés à passer la nuit ici tous les deux et qu'elle avait confiance en lui alors elle pouvait lui en parler.
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Benjamin J. Black

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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeSam 10 Jan - 1:07

« Désolée » murmura-t-elle. »
    Ce que Benjamin avait redout s'était, éviemment, révelé vrai ; il aurait du se taire et simplement expliquer à son amie la raison de sa présence dans le Salon. Le fait qu'il aie simmuler un horrible malheur avait fait disparaître toute trace de sourire sur le beau visage de Joyce et elle semblait totalement désarmée et il s'en voulut ausitôt. Malgré ça, il continua sa plaisanterie jusqu'au bout espérant détendre ainsi l'atmosphère.

    Ce qui semblait avoir réussit pendant quelques secondes, car la jeune femme semblait reprendre des couleurs et son coeur fit un bond en apercevant le sourire qui se dessinait même sur ses lèvres brillantes. Joyce était son amie, elle avit son entière confance, et, même si ils leur arrivaient de ne pas toujours être les camarades les plus proches, il appréciait beaucoup son caractère et l'idée de l'avoir rendue malheureuse, ne serait-ce qu'une seconde, l'avait complétement horrifié.


« Tu m'as fait peur en disant que c'était grave, lui dit-elle en retrouvant le sourire. Dans ton étourderie tu as plus de chance que moi ! »
    A nouveau, Benjamin afficha un air penaud. Il avait confiance qu'elle n'avait pas l'air fâchée mais redoutait que ce semblant de blague ne vienne à le prendre à insensible ou quelque chose comme ça. Bien qu'une part de lui - plus grande, bien plus grande que celle qui doutait - savait qu'elle le conaissait plutôt bien, à présent, et qu'elle ne penserait pas ça. Quoi qu'il y avait de quoi douter, d'un côté. Son amie était du genre populaire, pompom girl, aimée des garçons et du coup, bien qu'il n'était pas le genre de garçon à avoir des préjugés, elle devait avoir une part d'elle entièrement consacrée à la mode, au maquillage et au nombre d'heure qu'elle mettrait à se lisser les cheveux le lendemain. C'est-à-dire, tout ce que Benjamin détestait. Néanmoins, il restait persuadé, et il était bien décidé à ce que rien ne changerait pas d'avis là-dessus, qu'elle restait une fille vraiment chouette avec qui il aimait passer du temps.

    Il fut sortit de sa rêverie relationelle par Joyce, qui lui montrait quelque chose. Un morceau de papier qu'elle tenait dans sa main. Il baissa la tête dans la direction qu'elle désignait. Son regard se ficha ensuite dans les yeux de la jeune fille qui étaient redevenus tristes. Ca, contrairement à son pseudo-malheur, devait être grave. Il lisait aussi dans ses yeux l'hésitation. Il avait un certain talent pour lire dans les expressions des gens. Il comprit que ce n'était pas du genre de malheurs dont on parlait à tout le monde.


« Tu n'es pas obligée de m'en parler si tu n'en as pas envie, finit-il par dire, recouvrant son sérieux. Mais je t'écouterais si tu ressens le besoin de parler. Tu le sais. »
    Il lança à la jeune femme une sourire amical, qui ne se voulait pas trop joyeux quand même. Juste assez pour qu'elle ne doute plus d'avoir un ami à qui se confier.
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Joyce Eindenberg

Joyce Eindenberg


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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitimeSam 17 Jan - 21:18

Joyce était songeuse, elle repensait à cette lettre qu'elle avait en main et qu'elle avait lue quelques minutes auparavant assise dans le couloir, attendant que la surveillante de nuit passe pour ensuite s'échapper vers ce lieu calme où elle avait rencontré Benjamin qui lui avait fait une mauvaise frayeur dont elle s'était remise. Il avait alors affiché un air penaud, comme si de rien n'était. Cependant cette mauvaise blague l'avait fait repensé au contenu de cette lettre qui l'avait bouleversée. Certes Joyce était le genre de fille populaire, plutôt superficielle et qui avait eu pas mal de courtes relations ce qui pouvait la faire passer pour une insensible car certains de ces hommes s'accrochaient à elle mais cette lettre l'avait réellement chamboulée et elle se remettait en question. Elle ne savait pas quoi faire, si elle devait prendre le premier vol pour Bern et aller voir son père, si c'était une mauvaise blague ou si elle devait se renseigner sur l'existence de cette demi-soeur. A ce mot, elle repensa que son père était en quelque sorte un "salaud" car il l'avait déjà abandonnée elle mais cette fille il ne lui avait apparement accordé aucun intêrêt car il n'était pas sur de ce qu'il avançait. ELle décida de parler de tout ceci avec Ben où plutôt elle lui tendit la lettre à défaut de pouvoir tout expliquer.

EN la voyant le bout de papier à la main il avait déclaré : « Tu n'es pas obligée de m'en parler si tu n'en as pas envie. Mais je t'écouterais si tu ressens le besoin de parler. Tu le sais. »

Joyce était contente de cette attention. Elle avait besoin de se confier pour une fois et elle avait confiance en Benjamin, il ne se connaissaient pas depuis longtemps mais ils s'étaient déjà tous les deux racontés des choses qu'ils étaient les seuls à savoir. Ce serait l'occasion pour lui de la découvrir sous un autre angle que la fille sûre d'elle.

"Merci d'être là ! "
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MessageSujet: Re: Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce.   Plus malchanceux que moi, levez la main. ~ With Joyce. I_icon_minitime

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